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Le blog d'Yves Ballu, Cairn
8 février 2010

L'impossible sauvetage de Guy Labour : les photos

Bonus...

Les photos reproduites dans le livre sont malheureusement de mauvaise qualité. Elle devraient être plus belles dans la prochaine réimpression... qui ne devrait pas tarder. En attendant, voici, en guise de bonus pour les fidèles lecteurs de ce blog, l'intégralité de ces photos en meilleure qualité, et même en couleurs pour certaines :


Le transport de Guy Labour de l'hôtel du Montenvers vers le train qui le ramènera à Chamonix (dimanche 26 août) Cette photo illustre la couverture avec en fond, une photo de crevasse...

Couverture_1

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... que voici :

Couverture_2

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Page 11 - Guy Labour en rappel dans les aiguilles de Chamonix en 1931. À noter le béret, mis à la mode par Pierre Allain, dit « le Vieux », chef de file des grimpeurs parisiens.

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Page 12 - Guy Labour, aiguille du Chardonnet, en 1926.

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Page 15 : Pierre Chevalier à gauche et Guy Labour à droite au refuge du Couvercle en 1927
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Page 15 debout, Henri Brenot, dit « Kiki », et Guy Labour à droite au cours d’un raid à skis dans le Valais en 1931.

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Page 20 - Le GDB en balade en 1926. Au premier rang, de gauche à droite: Marcel Prettre, «la Marquise» (Madeleine Bonnard), Guy Labour, Pierre Chevalier. Au deuxième rang: Bobi Arsandaux, «La P’tite Lydie» (Lydie Rondelli) et «Kiki» (Henri Brenot).

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Page 23- Bivouac à Fontainebleau en 1929. Guy Labour est à droite.

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Page 25 : entraînement à Fontainebleau sur le rocher de La Prestat.

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Page 25 : sortie collective en 1931 dans le massif du Mont-Blanc.

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Page 39 - Camille Labour, Victoire (son épouse), Berthe Labour (la soeur cadette de Camille), Claude et Monique (les enfants de Jacques Labour).

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Page 40 - Pierre Allain, dit « le Vieux», un as de l’escalade, à l’entraînement sur les rochers de Fontainebleau.

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Page 63 - Guy Labour au sommet du Grépon en 1927 (photographié par son frère Jean).

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Page 64  : refuge de la Charpoua le 2 août 1928, au lendemain d’une ascension mémorable aux Drus et d’un bivouac éprouvant. De gauche à droite: Guy Labour, Polliant, Paul Gayet Tancrède (alias Samivel) et Martinon.

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Page 64 -: refuge d’Argentière en 1926. Au premier plan de gauche à droite, Mlles S. et M. Anizan, MM. Hardouin, Legrand, Bobi Arsandaux et Solente. Au deuxième plan de gauche à droite : Mlle H. Bouvier, Guy Labour et Saint-Jacques.

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Page 81 - Camille et Victoire Labour aux prises avec le mont Blanc. Nous sommes le 1er septembre 1910.  Halte sur le Grand Plateau. Victoire est au centre avec un chandail blanc. Camille, à droite avec un chapeau, semble déjà bien fatigué.

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Page 83 - La cordée Labour arrive (enfin !) à l’Observatoire Vallot. La photo prise par Joseph Vallot montre Victoire en tête de cordée et Camille la suivant, soutenu par ses guides.

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Page 87 - Guy Labour (à gauche) et son frère Jacques attendent le retour de leurs parents partis pour l’ascension du mont Blanc (septembre 1910).

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Page 103 - Notes prises par Guy Labour au cours de sa réclusion, après « déjà 52 heures» !

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Page 112 - Bobi Arsandaux (à gauche) et Guy Labour au refuge de la Charpoua en 1928.

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Page 115 - « Maintenant, ça va être la fin. Car il n’y a plus d’espoir. Je vous aime.»

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Page 116 - Le premier télégramme envoyé de Saint-Mandé par les parents Labour à leur fils aîné Jean à Chamonix. Nous sommes le mardi 21 août. Il est 8h40. La réponse de Jean arrive trois heures plus tard.

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Page 129 - L’Hôtel des Étrangers situé à proximité de la gare de Chamonix. Camille et Victoire Labour le quitteront rapidement pour un autre hôtel d’où les Grands Charmoz ne sont pas visibles.

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Page 136 - Le Petit Dauphinois installé à la Brasserie de la Poste. De gauche à droite : Roger Frison-Roche, René Landot (son beau-frère), un militaire et Edgar Coutaz, moniteur de ski.

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Page 183 - Samedi 25 août, 11 heures, col de la Bûche. Monsieur Pléeck (à droite) se fait photographier en compagnie de ses fils Paul (debout à gauche) et Georges (assis). Éloi Garny, le guide, est au centre.

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Page 184 - Victoire se confie à son journal intime : « Je n’espère plus rien.»

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Page 192 - Pierre Pléeck photographie le sauvetage de Guy Labour. On distingue, en tête de caravane, le guide Camille Ravanel transportant sur son dos le «naufragé du Mont-Blanc».

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Page 212 - L’article de Frison-Roche racontant le « dénouement inespéré ». À noter que cet article est paru le lendemain du sauvetage. Une performance journalistique !

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Pages 216 et 217 - Le transport du rescapé entre l’hôtel et le train du Montenvers. Ces photos de qualité médiocre ont été prises par Auguste Couttet, photographe chamoniard, venu comme tous les jours photographier les touristes sur la mer de Glace, et visiblement pris au dépourvu avec son appareil à plaques  de verre qu’il n’a sans doute pas eu le temps de monter sur pieds…

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Page 224 - Guy Labour (à gauche avec un passe-montagne blanc) et son frère Jean au sommet du mont Blanc le 1er septembre 1925.

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Page 225 - Guy Labour «en civil» à Saint-Mandé en 1924.

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Page 228 - «À la manière de…». Dessin inspiré de Samivel: l’humour ne perd jamais ses droits.

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Page 243 - Couverture de la revue «Guignol» dont la nouvelle Au fond d’une crevasse signée par Jean de Lanoys rappelle étrangement le récit de Frison-Roche dans le Petit Dauphinois. S’agit-il d’un grossier plagiat ou Frison-Roche s’est-il caché derrière le pseudonyme de Jean de Lanoys?...

Page_243

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Page 244 - Samedi 18 août 1934. À califourchon sur le sommet d’une des pointes de Blaitière, Micheline Morin assure Néa Morin, sa belle-soeur.

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Page 260 - Guy Labour dans une falaise d’escalade en 1931. À noter les espadrilles d’escalade, une nouveauté pour l’époque, sans doute fournies par Pierre Allain.

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Page 262 - Alpinisme collectif en 1931. Guy Labour, à droite, toujours avec son béret… et toujours en agréable compagnie.

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Pages 268-269 - Pierre Chevalier (à gauche) et Guy Labour au Rognon des Nantillons en 1927.

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Commentaires
M
je souhaite en savoir plus sur Henri Brenot.<br /> <br /> Pouvez vous m'aider, notamment en photo.<br /> <br /> Musée du Matériel Spéléo Bernard Sebille
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E
Cher Yves, votre talent est grand, maintenir le suspens jusqu'au bout alors que le dénouement est connu!
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P
Bravo pour ton dernier livre que j'ai lu d'une traite. Le choix de composition visant à accompagner Guy Labour pendant les 4 premiers jours,puis de nous laisser avec ses proches et les sauveteurs pendant la deuxième partie de la semaine est excellent : j'avais peur de passer 8 jours dans la crevasse !<br /> Tout est rendu avec précision, sans exclure l'émotion, présente tout au long du récit. Le suspense est bien préservé pour ceux qui ne connaissent pas encore l'épilogue.<br /> Je n'ai trouvé que deux peites entorses à la rigueur hostorique - sauf erreur de ma part :<br /> - page 16 : dans le guide Vallot en percaline bleue (Aiguilles de Chamonix, publié en 1925 ou, pour la 2e édition, en 1926), il n'y a aucune <br /> cotation du I au VI. celle-ci n'est apparue dans les Alpes Occidentales qu'après 1935(date de l'article original de Lucien Devies dans Alpinisme)<br /> - page 17 : le tout premier récit de l'ascension des Grands Charmoz n'est pas celui de 1898 dans l'Echo des Alpes, mais bien celui d'Henri Dunod dans l'Annuaire du CAF de 1885, qui effectua la première ascension de la plus haute pointe (le sommet N0 avait été préalablement escaladé par <br /> Mummery qui en a publié le récit dans son livre en 1895).<br /> Cela n'enlève rien bien sûr à la grande qualité de ton livre, ce ne sont là que pinaillages de spécialiste !
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T
Merci Yves de ce beau récit.<br /> <br /> Comme je m'y attendais, il est tout à fait fidèle à tout ce que je savais de cette histoire. <br /> Mais surtout, il m'a (il nous a) fait revivre ces émotions familiales, souvent non dites mais néanmoins partagées. <br /> Tous les membres de la famille qui m'ont déjà commenté leur lecture m'ont dit l'avoir lu d'une traite et avec beaucoup d'émotion. <br /> Tous ont aimé la rigueur des faits que tu décris avec une précision d'historien mélangée à ton talent pour faire revivre ce que pouvait être le ressenti des uns et des autres embarqués dans cette histoire qui ne pouvait être qu'épouvantable et qui s'est miraculeusement bien terminée.<br /> Cette lecture leur a fait revivre avec intensité leurs souvenirs des moments passés avec mon père.<br /> <br /> Alors merci beaucoup pour ce récit précieux.<br /> <br /> Amitiés<br /> <br /> Thierry Labour
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